Gwenrann Prizet
Elle s’enfuit, s’en va, loin, très loin de ma chaise,
Là où les arbres chantent mon âme s’apaise,
Libre, elle vagabonde parmi les grands hêtres ;
Elle est naïve, heureuse ; perdue peut-être…
Une seule chose est sûre, elle aime créer.
S’inspirant de tout et s’émerveillant d’un rien,
Elle trace un monde candide et coloré,
On l’appelle Gwenrann, bienvenue à toi Pomm’de Pin !